jeudi, février 03, 2005



Vraisemblablement.
Oui, vraisemblablement ne devait pas savoir qu'elle travaille le mercredi et ne rentre pas déjeuner la voisine la personne qui l'a appelée et laissé sonner le téléphone dans l'appartement aussi longtemps. Pas plus ne doit avoir son numéro de portable à recommencer ainsi et avec tant d'énergie tous les quarts d'heure.

De douze heures quarante à treize heures cinquante cinq. Après, comme suis sorti, ne peux pas dire. Cependant, il est parfois impossible d'empêcher de vagabonder son esprit et ce dernier, accumulant détail après détail, de lui laisser entrevoir une conclusion. Ainsi, entre 12h 40 et 13h55, six appels. 10 sonneries au premier, 9 au second, 5 aux troisième, quatrième, cinquième, sixième et dernier entendu. Soit 39 sonneries. Il n'est pas absurde de penser que, pour faire bonne mesure, il y ait eu un septième appel, un peu avant 14h, que la personne, abandonnant l'idée d'avoir son interlocutrice, ma voisine, après la troisième sonnerie lâcha prise portant au nombre de 42, le nombre de sonneries. 42. 14 fois 3.

ikhtoniaradio : Lydia Lunch - Blame